C’est au cours d’une mission de travail avec les agents de la Direction Préfectorale de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat que les tisserands de Kindia, ont mis l’occasion à profit pour faire des plaidoyers auprès de ladite direction. Ils sollicitent la construction d’une usine de production de fil de coton.
Thierno Djibiyah un des quartiers de la commune urbaine ou on peut les trouver, ces tisserands vivent de ce métier aujourd’hui. Ils fabriquent à la main des habits traditionnels pour les couples qui veulent se mariés nous explique Alseny Camara un apprenti. Mais selon eux ils rencontrent d’énormes difficultés dans l’exercice de leur métier. Ils sont confrontés notamment : un manque d’atelier adéquat pour la pratique de ce métier, une insuffisance d’outils de travail et aussi la rareté de la clientèle etc. Pendant la grande pluie, ces Tisserands se rendent également sous les hangars d’une école d’à côté dans le but de s’abriter afin de pouvoir exercer ce métier, qui n’est qu’un pain quotidien.
ls sollicitent donc auprès des autorités, la mise en place d’une Usine de production de fil de cotons pour pouvoir les faciliter le travail de tisserand où une mise en relation ont-ils sollicité.
Toupou
