Guinée : les membres de Global climate Stricke marche pour dire « Non aux énergies fossiles » – Base Cote Media

Guinée : les membres de Global climate Stricke marche pour dire « Non aux énergies fossiles »

« Appuis à la mobilisation citoyenne pour la grève climatique mondiale en Guinée » était le thème d’une conférence de presse animé ce lundi 23 septembre par les membres de Global Climate Stricke à Conakry.

Selon les organisateurs, une marche se tiendra le mercredi 25 septembre à Conakry avec pour objectif d’envoyer un message aux décideurs du monde entier par rapport au problème qui est en train de guetter l’humanité.

Le directeur exécutif du Point Focal de Global Climate Stricke en Guinée, Ibrahima Sory Youla, a dit que cette grève climatique est une mobilisation citoyenne qui vise à mobiliser pas mal de citoyens dans les rues pour manifester contre tous ceux qui est énergie fossiles et dire oui aux projets durables à faible émission de gaz à effet de serre.

<< Nous allons marchez pour dire aux autorités non à l’énergie fossiles, et les montrer vraiment que nous avons un intérêt aujourd’hui vers les énergies renouvelable. Il n’y a qu’une seule planète qui est la planète terre et qu’il faut vraiment que nous la préservons. Il faut qu’ont développé des approches, des solutions, des techniques, des innovations qui visent à transformer ce monde à travers des projets soutenable et acceptable dans le cadre d’un développement durable>> a souligné Ibrahima Sory Youla.

Selon lui, leur marche peut pousser les décideurs à prendre d’autre initiative. << Nous nous sortons pour que les choses changent. Il faut que nous sortions, on devrait être aujourd’hui aux Etats-Unis, mais nous avons dit qu’il faut que nous impactions chez nous. La Côte d’Ivoire, le Bénin, le Sénégal sont sortis alors que faisons-nous? Il faut qu’on sorte. C’est action climatique, parce qu’il est temps de réagir. Si on ne réagit pas la nature va réagir >>.

Et d’ajouter :<< Notre seule maison est en feu, elle va brûler. Nous avons une seule maison, c’est la terre. Vous avez vu, selon les recherches, la planète Mard n’est pas encore vivable. D’ici là si rien n’est fait, on n’aura pas où aller. La seule chose que nous avons, c’est cette planète Terre et si nous ne recherchons pas à la préserver, nous risquons de la perdre >>

Fatoumata Binta Diallo