Guinée : Le président de CECDAR fait le point de la situation de la problématique de la mise en œuvre des nouvelles réformes engagées au MESRS – Base Cote Media

Guinée : Le président de CECDAR fait le point de la situation de la problématique de la mise en œuvre des nouvelles réformes engagées au MESRS

Le Collectif des Enseignants Chercheurs et Diplômés pour l’Appui des Réformes (CECDAR) a organisé mardi, 12 septembre 2017 à la maison de la presse de Coléah une conférence avec  pour thème « Problématique de la mise en œuvre des nouvelles réformes du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) : cas de l’arrêté conjoint ».

Dans son intervention, le président du CECDAR, Samba Camara, a souligné que de nos jours,  les assistants sont divisés autour de cet arrêté conjoint et ils sont ce collectif d’enseignants pour l’appui à ses reformes engagés au ministère en charge.

‘’Nous sommes divisés autour d’un point, le point d’augmentation de la prime, nos collègues pensent qu’ils nous faut obligatoirement une prime de cinq millions de francs guinéens  ou bien il faut annulé l’arrêté, nous pensons que c’est pas une solution dès l’instant que nous pensons avoir les garantis de la formation il faut allé vers l’excellence parce que personne n’est né avec un doctorat on peut l’obtenir au cours de la vie’’ a expliqué Samba Camara.

Le président du CECDAR, a indiqué que certains ne peuvent pas prétendent obtenir peut-être ils sont frappés par l’âge, le collectif ne l’ai oubli pas mais nous mettons en avant le pays c’est ce qui est important avant de demander un sursaut. Il faut qu’ils réfléchissent un peu et qu’ils acceptent de prendre le pays.

Camara a ensuite fait savoir qu’un assistant c’est quel qu’un qui a un contrat de deux ans renouvelables deux fois, il peut être fonctionnaire ou ne pas l’être, quand il est fonctionnaire après cette période il n’arrive pas à passer au grade suivant on le remet au Ministère de la Fonction Publique qui le reverse au niveau de l’enseignement pré-universitaire, il faut que nous acceptions de nous former parce que quand on nous donnes cinq millions on doit donner logiquement au pré-universitaire les cinq millions parce qu’ils ont eu tous les mêmes diplômes de maîtrise.

A  Traoré