Guinée-Conakry : Fin de l’atelier de formation des officiers de police et magistrats basés sur les VBG. – Base Cote Media

Guinée-Conakry : Fin de l’atelier de formation des officiers de police et magistrats basés sur les VBG.

Ce vendredi 29 juillet 2016, les travaux de l’atelier de formation des officiers de la police judiciaire et des magistrats sur la lutte contre les violences basées sur le genre ont pris fin à Conakry. Cet atelier de formation a regroupé 69 participants venant du ministère de l’unité nationale et de la citoyenneté, de la cours d’appel de Conakry, des commissariats centraux et urbains de Conakry, la brigade de rechercher et la compagnie des gendarmeries de la ville de Conakry, le barreau de Guinée, des services de médecine légale de l’hôpital national Ignace deen, du service de génico-obcétiques de l’hôpital Ignace Deen , du service de chirurgie générale de Ignace deen, du service psychiatrie Donka , de l’unité de chirurgie pédiatrique de l’hôpital national Ignace Deen, et du haut commissariat des nations unies au droit de l’homme.

Organisé par le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour le Droits l’Homme en collaboration avec l’institut policlinique internationale PIIMEL et le gouvernement guinéen, cet atelier a pour objectif, contribuer à la qualification des décisions de justice par la formation des officiers de police judiciaire et magistrats dans la région de Conakry sous l’interprétation des rapports médicaux légaux, mais aussi, permettre aux officier de police judiciaire et aux magistrats de comprendre davantage les contours des notions les droits de l’homme de genre et les violences basées sur le genre, leurs sensibilisé envie d’une meilleur prise en compte du genre dans la procédure judiciaire portant sur les violences basées sur le genre.

Dans son intervention, le représentant du bureau du haut commissariat des Droits de l’homme, Louis Marie Bouaka sollicité des officiers de police et magistrats la prise en compte du genre dans l’administration de la justice, afin de rendre justice aux femmes victimes des violences

De son côté, Me. Emmanuel Bamba, a, au nom de tout les participants remercié les organisateurs, le haut commissariat des nations unies aux droits de l’homme et leurs invite à démultiplier ces genre de rencontre pour permettre aux uns et autre d’avoir une idée sur les phénomènes de violences basées sur le genre. « Nous qui avons suivie la formation sur les violences basées sur le genre, nous seront les messagers auprès de la population pour leurs données d’ambles explication afin qu’il ait une idée sur la chose et mettre fin à ce fléau », a-t-il rassuré.

Dans le même d’ordre d’idée, l’adjudante Zenab Bah officier de police judiciaire à la brigade de Matam, participante a la formation de violence basées sur genre, dira que « j’ai compris aujourd’hui qu’il ne suffit pas d’aller porté plainte à la gendarmerie , mais il faut vivre d’abord ce que les victimes de VBG vivent, ce que j’ai vu dans cet atelier je ne pensais que les femmes victimes de VBG souffrait de la sorte, mais du moment que j’ai suivie l’atelier et j’ai d’ambles informations je serait porte parole au près de mes collègues afin qu’ont puissent mettre main sur les auteurs ».

Au sortir de cet atelier, les participants recommandent aux organisateurs de démultiplier ces genres de rencontres qui s’inscrivent dans le cadre de la protection des droits des personnes vulnérables en générales et des victimes des violences basées sur le genre en particulier. Aux autorités judiciaires et para judiciaire de faire de faire suivant recourt aux médecins légistes et autre experts envie d’être éclairer sur des questions d’ordre technique dans le cadre des conduits judiciaires en matière des violences basées sur le genre. A l’endroit des autorités guinéennes et notamment le ministère de la justice, de faire en sorte que la guinée soit un membre du code SIMA inscrit dans le budget du ministère de la justice, les frais généreux par les rapports d’expertise et faire en sorte que les dis frais soit payé des que les rapports sont déposé par les experts, de renouveler chaque année la liste des experts auprès de la cours d’appel de Conakry, d’équiper les expert des matérielles de travail de dernière génération afin que ses dernier puissent s’acquitter de leur mission dans les règles de l’art.
Fodé SOUMAH pour bcmedia.org
(00224) 656-29-01-96